La crise du logement au Canada est profondément sexospécifique. Les femmes et les personnes de diverses identités de genre éprouvent les besoins de logement les plus importants au pays.
Cette crise est encore plus urgente pour les victimes de violences basées sur le genre. Le manque d’hébergements et de logements adéquats est l’un des obstacles les plus importants qui empêchent les femmes, les filles et les personnes de diverses identités de genre de pouvoir quitter les situations de violence. Pour les survivantes séjournant dans des hébergements d’urgence, le manque d’accès à un logement abordable et de qualité signifie un séjour prolongé, ce qui oblige les hébergements à refuser les survivantes et les hébergements d’urgence en raison du manque d’espace. L’impact de la crise du logement se fait sentir dans les communautés à travers le Canada chaque nuit : les hébergements pour victimes de violence conjugale refusent près de 1 000 femmes et leurs enfants chaque nuit en raison du manque d’espace.
Pour les survivantes de la violence fondée sur le genre garantir, le droit au logement représente plus que quatre murs et un toit. Il s’agit également de fournir les services et les soutiens globaux dont les survivantes et leurs familles ont besoin pour s’épanouir.
Partout au pays, les YWCA s’efforcent de mettre fin à l’itinérance et de soutenir les survivantes avec la mise sur pied des hébergements d’urgence et des logements supervisés, en sensibilisant à l’ampleur et à l’impact de la crise du logement liée au genre et en construisant activement l’infrastructure sociale qui fera du droit au logement une réalité pour toutes femmes, filles et personnes de diverses identités de genre au Canada .
Faites défiler vers le bas et apprenez-en plus sur les programmes et services offerts par les YWCA pour aider à mettre fin à l’itinérance :